jeudi 3 avril 2014

3 semaines au Royaume de Siam, première étape : BGK!

3 semaines en Thaïlande ne peuvent se résumer en un seul post.... Trop d'émotions, de choses à écrire, et à vous montrer.
Retrouvons-nous pour la première étape de mon périple au Royaume de Siam, à Bangkok.


Nous avons passé les 3 premiers jours de notre road-trip dans la capitale. 
De cette ville, je garderais le souvenir de la circulation anarchique, des arnaques au tuk-tuk, de la pollution, mais également des magnifiques temples, d'une merveilleuse ballade sur les khlongs, et de la découverte de la cuisine Thaï.


Wat Arun est mon temple préféré à BGK. Nous l'avons visité le matin, à un des rares  moments où il n’était pas encore infesté par une horde de touristes.
Wat Arun 

La ballade sur les Khlongs est également une visite à mettre sur sa " to-do list "! Elle permet de découvrir les différents quartiers de Bangkok (centre culturel et historique, quartier d'affaires, quartiers résidentiels), et de se rendre compte des disparités sociales.

# Buildings #Khlongs
# Temples  #Khlongs
# Habitation délabrée #Khlongs

# Jolie habitation #Khlongs
Enfin, c'est à BGK que j'ai découvert la cuisine Thaï. On déguste les meilleurs plats dans des petites échoppes de rue, ou dans les marchés de nuit.

Beaucoup de recettes à base de lait de coco en Thaïlande!
Ce sont des " nems " sucrés à la banane et au chocolat : une tuerie!
Pad Thaï : un classique de la cuisine Thaï : nouilles sautées avec ingrédients

Un de mes meilleurs souvenirs à BGK. Ma marchande préférée de beignets à 800 calories la pièce. Sa fille l’aide le matin, avant d’aller à l’école
.

Mon bilan de BGK :


BGK en soirée, rare moment de quiétude. Photo prise à quelques rues de notre guesthouse

Bangkok, donc.... Choc thermique, choc de culture car je n'avais jamais été en Asie avant ce périple.
Je n'ai pas vraiment aimé Bangkok : trop de monde, la saleté, le bruit infernal de la circulation, les arnaques en tout genre, notamment les tuk-tuk, mais cela reste une étape incontournable d'un séjour en Thaïlande!


mercredi 2 avril 2014

J’ai été volée : je me sens agressée, dépitée, touchée!



J’ai été volée, et je me sens agressée, dépitée, touchée.
C’est quelque chose qui ne passe pas. Pourtant, il ne s’agit que d’un vélo d’une valeur de 250 euros. Rien de grave… Il n’y a « pas mort d’homme », je pourrai en acheter un autre.
Mais voilà, cela n’enlève rien au fait que j’ai été volée, et que je me sens agressée, dépitée, touchée.
Cette sensation aussi étrange fut-elle ne passe pas.


10 ? 15? 20 minutes? Je ne sais plus trop. J’ai perdu la notion du temps.
Juste le temps d’accrocher mon vélo devant Monoprix, de dégoter quelques jolis fruits, de payer.  
Visiblement 10, 15, 20 minutes de trop.
Lorsque je suis revenue, aucune trace de mon vélo. A terre : mon antivol dont le code avait été forcé sans succès, et finalement sectionné. 


J’ai tout de suite compris, et j’ai souhaité porter plainte. Pas parce que je pensais pouvoir le retrouver, ou identifier les auteurs de l’infraction. Je n’ai aucun doute sur le fait que cela n’arrivera pas. Pas pour faire augmenter les statistiques sur la délinquance. Porter plainte parce que c’est mon droit !
Après un peu d’attente, j’ai réalisé que MON vol, était un vol parmi tant d’autres pour les policiers. MON vol, était insignifiant. Je le comprends, et je l’accepte, je préfère qu’une attention particulière soit portée à des victimes de violences sur leur personne, cela me semble normal.
Le policier de service m’a expliqué qu’une rotation d’équipe était en cours, il fallait attendre.
Je n'avais pas envie d'attendre...
J’ai donc décidé de déposer plainte le lendemain, ailleurs. Le gendarme qui m’a reçue a été compatissant. Cela m’a donné du baume au cœur, mais cela n’efface pas le fait que quelqu’un a volé mon vélo chéri, avec lequel je me rendais 3 fois par semaine au travail, avec lequel je me déplaçais depuis que j’ai vendu ma voiture. 


C’est injuste et je suis terriblement en colère et déçue. En colère contre le ou les voleur(s), mais surtout déçue de vivre dans une société dans laquelle on ne peut plus faire confiance, être de bonne foi.
Je suis déçue de vivre dans une société qui me retire ce petit peps que j’avais en entrant dans ce magasin et en décidant d’y rester 10, 15, 20 minutes de trop.

mardi 1 avril 2014

Des photographies qui racontent une histoire....

Mais que font ces hommes le bras tendu vers le ciel, à la tombée de la nuit? Qui sont-ils? Que veulent-ils? D'où viennent-ils?



Ce cliché raconte une histoire.... Celle de migrants africains, téléphones tendus vers le ciel dans l'espoir de capter une dernière fois du réseau, sur une plage de Djibouti.
Il a permis à John Stanmeyer de remporter le World Press Photo 2014, ce prestigieux concours qui récompense chaque année les plus belles photographies de presse.
5 754 photographes venant de 132 pays ont participé à ce concours. Le jury a scruté près de 100 000 photographies à la recherche de perles rares!
Retenons en quelques unes qui méritent également d'être admirées!
 

Typhoon Haiyan, Chris McGrath (general news), 2014, 1st prize stories






Farewell Mandela, Markus Schreiber (observed portraits), 1st prize singles



Transylvalnia - Built on grass, Rena Effendi (Observed portraits), 3rd prize stories


Sledding race from above, Jeff Pachoud (sport features), 1st prize singles


Cougars, Steve Winter (nature), 1st prize stories

 
Bonobos - our unknow cousins, Christian Ziegler (nature), 3rd prize stories


Nul besoin de récits, de mots... On les observe, et on se forge une idée. Ces photos nous emmènent dans des contrées lointaines, elles nous font communier avec la nature, elles nous rappellent de tristes évènements qui ont fait les gros titres de nos quotidiens... Elles nous racontent une histoire.