En 2013, époque 2.0, et de japonisation
(Japan Expo, J.pop…), quoi de plus normal qu’un opéra virtuel japonais sans
chef d'orchestre, ni personnage ?!
Crédits photos : theend-official.com |
Hatsune Miku (qui signifie « premier son du
futur ») : ce nom ne vous dit rien, et pourtant, il remplit
d’immenses salles de concert au Japon et aux États-Unis.
Elle a 16 ans, des yeux et des longues couettes
turquoises, pèse 42 kilos et mesure 1m58. Cette virtuose virtuelle, issue d’un
programme de synthèse vocale appelé Vocaloïd, se produit en ce moment dans un
opéra ("The End") au Châtelet.
The end est un opéra sur la mort, et sur l’impermanence
des choses.
Hatsune Miku, crédits photos : freshnessmag.com |
Cette expérience qui peut être
intéressante, se fond parfaitement à l’esprit de notre époque contemporaine.
Elle est aussi à l’image de son créateur, Keiichiro Shibuya qui s’est inspiré de sa vie pour créer cet opéra.
Elle est aussi à l’image de son créateur, Keiichiro Shibuya qui s’est inspiré de sa vie pour créer cet opéra.
Je suis bien consciente qu'il ne peut pas y avoir cette magie, ces frissons, ce bonheur que l'on ressent en assistant à un vrai opéra, en entendant une soprano, un ténor, un baryton...
Bref, je dis un grand oui pour aller voir The End. En revanche, l’opéra, le vrai, ne pourra jamais être remplacé dans mon cœur!
Bref, je dis un grand oui pour aller voir The End. En revanche, l’opéra, le vrai, ne pourra jamais être remplacé dans mon cœur!
Et vous ?
Informations pratiques :
Du 12 au 15 novembre 2013
The end
Théâtre du Châtelet
Crédits photos : www.lemonde.fr |
Ca me parait étrange de faire un opéra virtuel, mais pourquoi pas, moi j'adore la culture japonaise donc à voir !
RépondreSupprimeroui, j'aurais bien aimé le voir, mais malheureusement, il y avait très peu de représentations (seulement 3, je crois)!
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